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mardi 04 janvier 2011
Risible !
Les prétendues questions « que – selon M. Fauvel – se poseraient
beaucoup de Bergeracois » au sujet de la gestion de Daniel Garrigue prêtent
pour le moins à sourire.
- « Éventuelles « commissions »
lors de la réalisation du parking de la République : en fait de «
commissions », qui n'ont jamais existé, il y a eu surtout le
mécontentement de certains grands groupes qui ont mal accepté d'être
doublés par un outsider, SAGS. Les insinuations de M. Fauvel sont purement
calomnieuses.
- « Surdimensionnement de la station d'épuration »
: construite pour une durée de vie de 25 à 30 ans, la nouvelle station
d'épuration a une capacité de 50 000 équivalents habitants qui tient
compte de la population de Bergerac, du traitement des effluents non
domestiques, et des demandes de communes périphériques. La marge
disponible est aujourd'hui de quelques milliers d'équivalents habitants.
-
« liens entre les promoteurs et Garrigue » concernant les constructions
sur Pombonne : Nous avons discuté à l'origine avec Univers de France,
filiale de Vivendi , puis quand Vivendi s'est retiré, nous avons su
maintenir les projets en discutant directement avec les différents
promoteurs. Je pense que nous avons plutôt réussi cette opération qui
s'est déroulée dans un contexte difficile.
- La prétendue «
inflation des logements de Robien » : dans une période où la ville
gagnait plus de 2000 habitants, nous avons reçu l'équivalent de 1500
demandes de construction de logements neufs. Nous en avons accepté 1000,
et lorsque nous avons senti qu'il y avait un phénomène spéculatif, nous
en avons refusé 500. Parler d'une « inflation de logements de Robien » à
Bergerac, comme le font certains, a surtout pour effet de porter, à
tort, préjudice à Bergerac. Cela ne peut manquer de surprendre de la
part d'un président de chambre de commerce.
Quant à
l'affaire Capsécur, qui est une affaire de droit public concernant la
sécurité routière, dont j'ai été effectivement saisi par les plaignants
et qui me concerne fortement, puisque j'ai largement contribué au
développement du circuit de Bergerac-Faux, j'observe que dans notre
droit - qui est le même à Bergerac et à Bordeaux - , un agrément plus
que tardif ne peut valoir régularisation.
Daniel Garrigue
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DANIEL GARRIGUE