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mardi 29 juin 2010
Daniel Garrigue interroge Bernard Kouchner sur la politique arabe de la France.
M. Daniel Garrigue. D’une réunion à l’autre, on constate l’affadissement progressif du G20. Avant le sommet de Toronto, il n’existait guère de cohésion entre les pays européens, mais au moins semblait-il y avoir un accord entre la France et l’Allemagne sur certains sujets, comme la nécessité d’une régulation financière à l’échelle internationale, la mise en place d’une taxe sur les institutions financières ou sur les transactions financières, ou la régulation du marché des produits dérivés, avec l’éventuelle interdiction des contrats à terme. On a eu l’impression que cette entente franco-allemande n’était qu’une façade. Qu’en est-il ?
Par ailleurs, ce que l’on appelait « la politique arabe de la France » ne consistait pas à entretenir de bonnes relations avec tout le monde ! Son principe était de faire en sorte que, dans certains conflits du Proche et du Moyen-Orient, tous les acteurs puissent devenir des interlocuteurs, même ceux qui étaient rejetés par la majorité de la communauté internationale. C’est ce qu’avaient fait le général de Gaulle avec les Palestiniens, le président Mitterrand avec l’OLP, le président Chirac et Dominique de Villepin sur la question irakienne. Monsieur le ministre, qu’est devenue la politique arabe de la France ?
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DANIEL GARRIGUE